De « la tragédie oubliée dans la ruelle citoyenne d’Antaninandro » en 2016 à… « la popularisation de l’histoire au jardin de Mahamasina » en 2017 …
1947….Un passé qui ne passerait pas ?
1947… un passé sensible, entre jeux et enjeux à travers les mises en scène des pouvoirs successifs et des forces de l’ombre…
Aujourd’hui, conjuguer mémoire, histoire, intelligence collective…
Au-delà d’une obsession mémorielle, faire CONNAITRE et COMPRENDRE l’histoire et/ou les histoires, lever le voile sur des non dits, des oublis volontaires…briser certains silences …certaines peurs… certains discours ancestraux…conjurer les haines… les névroses résiduels invisibilisés…
Questionner le passé…. le présent…
Ainsi se libérer par et pour une conquête, une affirmation de soi…ny maha olombelona.
Mahamasina : lieu emblématique fort, celui d’une histoire oubliée de trop, celle d’un peuple, dépositaire de la mémoire, de l’histoire….
* Exposition de clichés « historiques », textes, journaux, résultats de recherches universitaires, individuelles….. images, mots, réflexions des acteurs pluriels de cette tragédie. Il y a eu aussi un avant… il y a un après.
* Des traces mémorielles qui fécondent une création artistique multidimensionnelle : ateliers d’expression libre, agora, l’arbre… le kily…le flamboyant à palabres. Un refus de la nécrose.
* Un jardin ouvert où chacun pourra vivre, peindre, chanter, écrire, partager, interroger, lire l’histoire ….. son histoire …où chacun, tous, pourront créer, résister….et « écouter pousser les fleurs »
Les 24 et 25 mars 2017 : Une communication citoyenne… un agir démocratique.
UN ETRE… UN PEUPLE …UNE NATION LIBRE